Le Protocole de Kyoto a été adopté par 172 nations. Ces nations incluent des pouvoirs économiques telles que le Japon, l'Allemagne, l'Angleterre et la France. Collectivement les émissions représentées sous Kyoto expliquent 60 % d'émissions mondiales de GES.
Une exception d'importance à l'adoption du Protocole de Kyoto est les Etats-Unis qui malgré des efforts répétés par la communauté internationale a choisi de ne pas participer au Protocole de Kyoto. Après avoir eu commis à Kyoto en 2002, le Canada plus récemment a choisi de suivre l'exemple des Etats-Unis et a également désisté de continuer sa participation à cette initiative. Un alternatif possible pour la réduction d'émissions a été décrit par le Canada en avril 2007. La proposition canadienne établirait des cibles d'intensité d'ici à 2010 et se servirait des projets de compensation ainsi que les certificats de réduction des émissions (CERs).
Malgré l'absence de ces deux nations de Kyoto, l'intérêt pour la réduction d'émissions par des régions, des organismes et en effet les citoyens de l'Amérique du Nord continue sa tendance de croissance. Dans certaines régions les systèmes législatifs pour la réductions des émissions ont commencés apparaître. Les exemples incluent l'initiative de CARB de la Californie et l'initiative de RGGI couvrant plusieurs états du nord-est aux E-U.
La grande partie d'activité nord-américaine, cependant, est basée sur l'engagement volontaire pour réaliser un certain niveau de réduction aussi bien que la compensation du carbone par le placements dans les projets volontaires de réduction des émissions .